why I play
Pourquoi je joue ?
Notre campagne #RaiseTheGame passe un nouveau cap : nous avons fait équipe avec une véritable Superwoman du basket, Sali (@Sali_7), qui en plus de travailler quotidiennement avec des associations parisiennes liées au basket, participe régulièrement à des collabs avec Nike ; elle a même conçu sa propre paire de Jordan Kyrie 7 ! Impressionnant.
Avec sa capacité à guider et à inspirer les jeunes joueurs, Sally a toute sa place dans la famille Foot Locker. Poursuis ta lecture pour découvrir comment cette magnifique discipline a façonné la vie de ses coéquipières Aby, Aminata et Mawatta.
Aminata
« Je m'appelle Aminata Traore. J'ai 25 ans. Je joue au basket en club depuis plus de dix ans. Cela m'a aidé à m'épanouir pleinement au fil des années. Participer à autant de compétitions a eu un énorme effet de motivation sur mon éducation. Gagner des tournois m'a permis de gagner en confiance et cette détermination m'a également servi dans mon travail et dans la réussite de mes études. »
Aby
« J'ai 22 ans et je suis née dans le 18e arrondissement. Je joue depuis cinq ans. Le basket a changé ma vie ! Il m'a aidée à découvrir un nouvel univers de sororité. C'est passionnant de rencontrer des gens d'horizons si différents, auxquels je n'aurai peut-être jamais parlé autrement, mais qui ont fini par jouer un rôle important dans la direction qu'a pris ma vie, en quelque sorte. C'est pourquoi je souhaite partager ma passion et transmettre cet amour aux plus jeunes que moi. »
Mawatta
« Le basket-ball a été positif pour moi parce qu'il m'a aidée à mettre en avant des valeurs importantes comme le partage, l'humilité et la compréhension. Jouer me permet de me dépasser et de reconsidérer ce que je pense pouvoir accomplir. Par exemple, comme dans la vie, il peut y avoir un manque d'équité dans le basket, en particulier concernant le développement des joueurs, mais je continue à jouer parce que je sais que tant que je reste dans le jeu, je peux atteindre mes objectifs en essayant de corriger ce qui ne va pas ».
